Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme

Emmanuel de la Londe est intervenu en séance lundi 1er avril pour interroger l’exécutif départemental sur l’avancée du plan de création de 520 nouvelles places pour les personnes en situation de handicap d’ici 2022, et notamment sur les places réservées aux personnes qui souffrent de troubles autistiques.

Les élus du groupe sont intervenus plusieurs fois auprès de l’ensemble des décideurs pour alerter sur les difficultés d’accueil des personnes autistes et sur le désarroi des familles.

Emmanuel de la Londe est intervenu en séance lundi 1er avril pour interroger l’exécutif départemental sur l’avancée du plan de création de 520 nouvelles places pour les personnes en situation de handicap d’ici 2022, et notamment sur les places réservées aux personnes qui souffrent de troubles autistiques.

Il a également demandé quels moyens l’ARS et le gouvernement avaient affecté au Département dans le cadre du 4e plan autisme, rappelant l’engagement du Directeur de l’ARS lors de l’audition du Préfet du Val-de-Marne le 9 octobre 2017, qui avait confirmé que 15 % à 18 % de l’enveloppe globale du 4e plan autisme devait revenir au Val-de-Marne.

Comme il l’a rappelé, le groupe réclame depuis plus d’un an que la prise en compte des troubles autistiques devienne une grande cause départementale pour le Département du Val-de-Marne, notamment dans le cadre de la mise en place du nouveau plan autisme.

L’exécutif départemental nous informe que les orientations gouvernementales s’attachent davantage à l’inclusion qu’à l’accueil en établissements spécialisés. Seulement 4.5 millions d’euros ont donc été affectés à l’accueil des personnes autistes dans le Val-de-Marne. C’est loin d’être suffisant pour répondre aux besoins du département, puisque 1 000 enfants et leur famille sont toujours aujourd’hui sans solution.

 

>> Retrouvez l’intervention d’Emmanuel Gilles de la Londe

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